Tags: Jules Supervielle

L’Enfant de la haute mer

(…) Parfois l’enfant éprouvait un désir très insistant d’écrire certaines phrases. Et elle le faisait avec une grande application. En voici quelques-unes, entre beaucoup d’autres : – Partageons ceci, voulez-vous ? – Écoutez-moi bien. Asseyez-vous, ne bougez pas, je vous

Attendre que la Nuit…

Attendre que la Nuit, toujours reconnaissable A sa grande altitude où n’atteint pas le vent, Mais le malheur des hommes, Vienne allumer ses feux intimes et tremblants Et dépose sans bruit ses barques de pêcheurs, Ses lanternes de bord que